5 bonnes raisons de s'installer dans l'Ouest-de-l'Île de Montréal
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Dernière région rurale de l'Île-de-Montréal, l'ouest sauvage conjugue les avantages et commodités de la ville avec le charme de la campagne.
Une terre historique
Dans des terres vouées à l'agriculture de subsistance, un premier chemin riverain est ouvert sur la pointe ouest en 1731, le chemin de la côte Sainte-Anne devenu le chemin Senneville.
Les membres de l’élite économique et politique montréalaise y ont établi leur résidence secondaire dès le début du XXe siècle. C'est l'époque des vastes domaines dédiés aux loisirs mais aussi aux vergers.
Dans les années 80 et 90 la Communauté urbaine de Montréal se lance dans la création des grands parcs : ainsi naît le parc régional du Cap-Saint-Jacques en bordure de la rivière des Prairies et du lac des Deux-Montagnes.
Au sud, le parc agricole du Bois-de-la-Roche forme un vaste domaine rural représentatif des fermes d'antan.
Des parcs, des lacs et des rivières
L'Ouest-de-l'Île jouit dès lors d'un environnement naturel préservé à seulement 15 à 20 minutes du centre de Montréal très bien desservi par les transports. En plus de ses nombreux parcs, la région bénéficie de la présence au sud du vaste lac Saint-Louis et de l'archipel d'Hochelaga.
Vous êtes ici au cœur d'un vaste système d'écluses qui attire un tourisme nautique. L'écluse Lachine est la plus petite et la plus charmante, alors que l'écluse de Saint-Anne permet aux bateaux jusqu'à 170 pieds d'accéder au lac des Deux-Montagnes (au nord).
Les plages
Avec tant d'accès à l'eau à disposition, ce sont également les plages qui attirent le tourisme montréalais. La plage Noël à Sainte-Geneviève-de-Pierrefonds à elle seule fait doubler la population du village en été.
Vous trouverez dans l'Ouest une plage adaptée à chaque mode de vie, y compris le moins habillé.
Paradis du vélo
Les amateurs de loisirs nautiques ne sont les seuls à être choyés. Le Circuit patrimonial à vélo de l'Ouest-de-l'Île est un parcours de 70 km permettant de découvrir les monuments culturels des villes et villages de l'ouest de l'île de Montréal, comme le noyau villageois de Sainte-Geneviève par exemple.
D'autres parcours riverain empruntent les anciens chemins tels que le pittoresque boulevard Gouin (anciennement chemin de la côte Sainte-Geneviève).
Au cœur du bilinguisme
Le « Wild Wild West » est typiquement bilingue, ce qui le distingue des autres territoires du Québec. Un condo à vendre à Dorval à deux pas des commodités et des services urbains les plus recherchés n'est qu'à 85 km de la frontière de l'Ontario par la Transcanadienne. C'est à peu près la même distance qui sépare l'aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau (anciennement aéroport de Dorval) du Vermont plus au sud.
Ici les immigrants viennent en majorité de l'ouest du Canada et de l'ensemble des États-Unis. Croyez-le ou non, les services municipaux sont même bilingues.
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