Un premier roman pour Claude Dion
Le Trifluvien, Claude Dion, a vécu son premier Salon du livre de Montréal les 22 et 23 novembre comme auteur. Il y a présenté son tout premier roman « Si seulement les vents avaient été favorables ».
C'est un homme un peu nerveux concernant sa première entrevue à vie, mais tellement fier de son produit, que j'ai rencontré à la suite de la sortie de son tout premier roman. Un livre sur lequel il travaille, en même temps que d'autres, depuis une dizaine d'années.
« J'ai fait mon premier salon du livre il y a quinze jours à Rimouski. Lorsque tu écris, tu le fais pour toi-même dans la solitude. Mais là, discuter avec d'autres de ton livre, c'est vraiment le summum. Je boucle la boucle! », explique celui qui suit des ateliers à l'Université du troisième âge pour améliorer ses connaissances littéraires.
« Si seulement les vents avaient été favorables », a été écrit en pensant aux nombreuses histoires restées dans la mémoire de Claude Dion concernant son père originaire du Bas-Saint-Laurent.
« Le plus difficile a été la révision. Le fait d'abandonner des choses, mais cela m'a permis de fignoler mon histoire et d'avoir finalement un meilleur produit », explique M. Dion dont son livre est édité par Les éditions JCL, distributeur dans quelques pays européens et aux États-Unis.
« La vedette » comme ses amis aiment le surnommer travaille présentement sur d'autres romans complètement différent de ce premier à caractère historique.
Résumé
« Frank Jefferson rêve d'une vie différente où, libéré de l'autorité de son père forgeron, il rejoindrait le camp des nantis. Il fugue donc et se rend à Boston avec l'espoir de grimper rapidement dans l'échelle sociale. Lorsqu'il décroche un emploi de commis dans une banque, il comprend qu'il pourrait atteindre ses objectifs plus tôt que prévu... Le plan qu'il fomente pour parvenir à ses fins est aussi téméraire que fumant, mais sa détermination chancelle lorsque Patricia débarque dans sa vie avec son charme ravageur. Elle à qui son père veut imposer un mari de sa classe sociale, se scandalisera-t-elle des visées de Frank ou, au contraire, voudra-t-elle être de son projet? Follement épris, les deux jeunes gens conviennent finalement de se retrouver à Londes à une date ultérieure, mais c'est sans compter les aléas du destin, qui leur réserve à chacun bien des épreuves. »
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